5 idées fausses sur la construction des églises

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Laurent Ridel

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Admiratifs devant les églises, en particulier les cathédrales, nous sommes parfois perméables à certaines affirmations douteuses quant à leur édification. Préparez-vous à déconstruire quelques légendes sur la main-d’œuvre, l’avancée des chantiers, les matériaux et les techniques de construction. 

Pensez-vous que : 

  • les grandes églises sont construites d’un seul jet ? 
  • elles sont toujours en pierre ?
  • elles ont été bâties par une main-d’œuvre bénévole ? 
  • les bâtisseurs employaient des outils ingénieux comme la corde à 13 nœuds et la quine ?
  • nous serions aujourd’hui incapables de construire une cathédrale ?

Démystifions ces croyances erronées ou à moitié vraies. 

Chantier de construction. Vitrail de la cathédrale de Chartres
Chantier de construction. Vitrail de la cathédrale de Chartres (XIIIe siècle)

Idée 1 : Les grandes églises étaient construites d’un seul jet

Aujourd’hui nos gratte-ciel ou nos zéniths surgissent ainsi de terre. Au Moyen Âge, il faut souvent diviser le chantier en plusieurs campagnes de travaux pour construire l’intégralité de l’église. Déjà parce que le financement, insuffisant, n’offre de perspectives que pour quelques années. Ensuite advienne que pourra. Prudemment, les commanditaires, en collaboration avec les architectes, procèdent donc partie par partie. Par exemple, d’abord le chœur, puis la nef, enfin la façade. Parfois s’écoulent plusieurs générations entre les phases. Pire, certains monuments restent inachevés à l’exemple de la cathédrale de Narbonne, réduite à son chœur et à son transept.  

Avancée d'un chantier d'église
Au premier plan, l’église est bâtie par module. Le chœur est debout tandis que le transept et la nef sont en cours de construction. Enluminure du Roman de Girart de Roussillon Cod. 2549, fol. 164r: Vienne. Österreichische Nationalbibliothek

En lisant les murs, vous vous rendrez parfois compte de ces étapes de construction. Par exemple, le style architectural de la nef diffère de celui du chœur. Observez notamment la décoration des chapiteaux, le tracé des arcs, le remplage des fenêtres… L’histoire du chantier se dévoile sous vos yeux.

Cathédrale de Lisieux. Choeur.
Ces deux travées de la cathédrale de Lisieux appartiennent chacune à une phase de construction. Même si l’organisation générale est conservée (les 3 niveaux), on distingue des différences dans les détails.

Souvent l’ancienne église est remplacée par la nouvelle construction sur le même site. Dans ce cas, l’échelonnement est encore plus nécessaire : les bâtisseurs essaient le plus longtemps possible de conserver l’ancienne église afin de maintenir le culte le temps des travaux. Un casse-tête logistique. 

Dans ce cas, les bâtisseurs optent souvent pour une stratégie ingénieuse : l’enveloppement. Le nouvel édifice, plus imposant, est construit autour de l’ancien jusqu’à sa nécessaire démolition. Ainsi se sont déroulés les chantiers de la cathédrale d’Elne et de l’abbatiale romane de Paray-le-Monial.

Sauf quelques monuments rondement menés, les cathédrales avaient donc l’apparence de monuments inachevés et composites pendant une large partie du Moyen Âge. 

Depuis quelques dizaines d’années, les archéologues du bâti nous fournissent des informations encore plus précises sur l’avancée des chantiers. Au lieu de fouiller le sol, ils étudient chaque pierre ; ils sondent les mortiers ; ils repèrent chaque rupture dans les appareils. Tout ça pour en tirer une conclusion nouvelle : les bâtisseurs ne progressent pas toujours travée par travée (une travée consiste en l’espace entre deux piliers). Ils choisissent aussi la construction par niveau : on commence par les grandes arcades du rez-de-chaussée, puis, faute de financement, on ajoute un toit provisoire. Toit qu’on enlèvera quand on sera prêt à ajouter le deuxième niveau. 

Chantier de la cathédrale de Metz
Lors de la phase B2 vers 1260-1265, la cathédrale de Metz ne s’élève qu’au niveau des grandes arcades, sauf le départ d’une tour (Dessin d’Alain Villes)

En réalité, les phases sont plus compliquées (désolé !). Elles associent avancement par travées, par niveau et par enveloppement

abbatiale de Paray-le-Monial (Saône-et-Loire) en phases de construction
Sur ce plan au sol et en élévation de l’abbatiale de Paray-le-Monial (Saône-et-Loire), les phases de construction se distinguent par une couleur différente. Remarquez les changements d’un pan de mur à l’autre et d’un étage à l’autre (panneau dans le cloître)

Les archéologues du bâti sont face à des Tetris de pierre. Ces complications n’ont peut-être qu’une seule raison, déjà évoquée : le souhait de maintenir l’ancienne église le plus longtemps possible. 

Lire aussi : Les secrets des bâtisseurs du Moyen Âge

Idée 2 : Une église se construit en pierre

Non, je ne vais pas vous retourner le cerveau : cette affirmation est très largement vraie. Cependant, la brique, plus économique, lui fait parfois concurrence. En Occitanie, elle règne en maîtresse. Malgré son importance, la cathédrale d’Albi n’a pas dérogé à ce principe de construction régional. 

Ne croyez pas que la brique soit une nouveauté dans le monde de la construction. Bien au contraire ! Déjà Rome appréciait ce matériau léger, facile à mettre en œuvre et résistant au temps. Elle ne craignait pas de l’utiliser pour des édifices prestigieux comme le Panthéon ou le forum de Trajan. 

La brique ne s’arrête pas aux frontières de la France. Non, elle a conquis des régions pauvres en pierres calcaires : de la Belgique à la Pologne en passant par les Pays-Bas, le Danemark, le nord de l’Allemagne, sans oublier la plaine du Pô en Italie… En dépit de son impossibilité à être sculptée, les architectes allemands ont réussi à l’adapter à l’architecture gothique. 

L'église de Sainte-Marie de Prenzlau
L’église de Sainte-Marie de Prenzlau (Allemagne) est un bel exemple de Backsteingotik (gothique de brique)

Le bois, matériau du pauvre, ne bénéficie pas d’une telle marque d’intérêt chez les bâtisseurs d’églises, sauf pour composer les charpentes. De toute façon, personne ne les voit, cachées sous les toits. Curieusement, en Champagne, entre Troyes et Saint-Dizier, se concentrent des églises à pan de bois. Caractéristique originale que n’ont pourtant pas suivie des régions à la tradition charpentée plus affirmée comme la Normandie et l’Alsace. 

Idée 3 : Les cathédrales furent édifiées dans un grand élan populaire

« Dans mon diocèse [Avranches], c’est un spectacle extraordinaire, tout le monde, chevaliers, bourgeois et paysans, court à Chartres pour avoir l’honneur de travailler pour Notre-Dame [la cathédrale] », s’enthousiasme l’abbé Robert de Torigni au XIIe siècle. 

On imagine des foules chantantes convergeant vers les villes, les bras chargés de pierres. L’image est belle, n’est-ce pas ? 

S’il y a un grand engouement populaire pour construire les cathédrales, il est forcément limité dans le temps et dans les tâches. De tels chantiers nécessitent des compétences rares. Un paysan ne s’improvise pas tailleur de pierre ; le chevalier maîtrise sûrement beaucoup mieux le combat à l’épée que l’assemblage d’une charpente. 

La construction d’une cathédrale est une affaire de professionnels, qu’on paie d’ailleurs assez bien pour ce travail : de l’architecte au fabricant de mortier, en passant par les maçons, les tailleurs de pierre ou les maîtres-verriers. 

Main d'oeuvre sur un chantier de construction
Des saints et des rois mettent la main à la pâte pour maçonner, mesurer, vérifier l’aplomb, poser des vitraux et faire du mortier. Enluminure du Miroir historial de Vincent de Beauvais, traduit par Jean du Vignay, manuscrit Français 50, fol.1r, Gallica/Bibliothèque nationale de France

Alors, oui, peut-être que quelques bras vaillants, sans qualification, se sont joints à l’effort collectif, portant les matériaux ou creusant les fondations. Mais pour la plupart, ce travail était rémunéré. Eh oui, il fallait bien manger !

Les cathédrales sont davantage le fruit d’un travail d’experts que d’un élan populaire. 

Idée 4 : Les bâtisseurs utilisaient des outils ingénieux comme la corde à 13 nœuds et la quine

J’avoue m’être fait prendre jusqu’à ce que Jean-Michel Mathonière, spécialiste des compagnonnages, me reprenne (gentiment). 

Sur les chantiers de restauration historique, ou sur les reconstitutions d’ateliers, vous apercevrez parfois :

  • Une quine, c’est-à-dire une sorte de règle divisée en 5 unités anthropiques : la paume, le palme, l’empan, le pied et la coudée. Ce qui est fascinant avec ce système de mesure c’est qu’on passe de l’une à l’autre en multipliant par le nombre d’or (environ 1,618) et qu’en additionnant deux unités consécutives, on obtient la suivante. 
Pige ou quine
Appelée aussi pige, la quine est graduée de plusieurs mesures correspondant à des parties du corps de plus en plus petites (Martouf/wikimedia commons).
corde à 13 noeuds
Dans cet atelier reconstitué, ne serait-ce pas une corde à 13 nœuds qui traîne sur la table ?

À travers ces deux outils, opère la magie des mathématiques et de la géométrie. Le problème, relevé par Nicolas Gasseau, c’est l’absence de preuves anciennes de leur utilisation. On n’en voit jamais représentées sur les enluminures médiévales au contraire du compas, de l’équerre, de la règle et du fil à plomb (cherchez-les dans la miniature du Miroir historial, quelques paragraphes plus haut). L’idée d’une corde à 13 nœuds n’est avancée qu’à l’époque où on invente à peu près les premiers avions, c’est-à-dire en 1900 !

Jean-Michel Mathonière renchérit en pointant l’imprécision de la corde à nœuds (selon l’humidité, elle s’allonge ou se rétrécit. Autant utiliser un compas) et le manque de praticité de la quine (ses unités de mesure ne correspondaient pas aux mesures de longueur employées à l’époque, d’où la nécessité d’une conversion). 

Les artisans d’aujourd’hui s’illusionnent parfois sur leurs outils qu’ils pensent remonter à un temps immémorial. 

Lire aussi : Le nombre d’or dans les églises : faut-il y croire ?

Idée 5 : On ne saurait plus construire de cathédrales aujourd’hui

C’est la petite phrase que j’entends chez certains touristes émerveillés par ces monuments qui défient le ciel.

Soyez rassurés : les compétences des maçons, des tailleurs de pierre, des charpentiers du Moyen Âge ne se sont pas évanouies dans les brumes du temps. Car depuis l’âge d’or — le fameux temps des cathédrales -, on n’a jamais complètement arrêté d’en construire ou d’en reconstruire. 

Pensez à la cathédrale d’Orléans. Pendant les guerres de Religion, les protestants la laissent en ruines après l’avoir minée à l’explosif. Mais au lieu de baisser les bras, les bâtisseurs du XVIIe siècle relèvent le défi, reprenant les principes de l’architecture gothique pour reconstruire l’édifice dans toute sa splendeur. Et le résultat est là, sous nos yeux ébahis : une cathédrale qui semble tout droit sortie du Moyen Âge, mais qui a été façonnée à une époque où on construisait et agrandissait le château de Versailles. 

Intérieur de la cathédrale d'Orléans
Intérieur de la cathédrale d’Orléans (Selbymay/Wikimedia Commons)

Pensez également aux restaurations menées au XIXe siècle par l’architecte Viollet-le-Duc. À Notre-Dame de Paris, à la Sainte-Chapelle, à Clermont-Ferrand, il a démontré le maintien des savoir-faire. 

Et aujourd’hui, que reste-t-il de cet héritage millénaire ? Le chantier de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris (2019-2024) démontre que nous n’avons pas à nous lamenter. Non seulement les artisans ont réussi à recomposer la voûte crevée par la chute de la flèche mais ils ont recomposé la charpente en reprenant les techniques médiévales. Les compétences sont toujours là, enseignées chez les compagnons du Devoir, dans les lycées professionnels ou les écoles de formation. L’architecture médiévale, loin d’être un savoir perdu, est une tradition qui se perpétue. 

Dites-moi en commentaire si vous étiez sensibles à l’une des 5 idées reçues. Les questions sont bienvenues.

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L’AUTEUR

Laurent Ridel

Ancien guide et historien, je vous aide à travers ce blog à décoder les églises, les châteaux forts et le Moyen Âge.

Ma recette : de la pédagogie, beaucoup d’illustrations et un brin d’humour.

Laurent Ridel

74 réponses à “5 idées fausses sur la construction des églises”

  1. Avatar de Chane
    Chane

    Bonjour,
    étrangeté du psittacisme français : « l’avancée des chantiers » après le ‘ »déroulé » des opérations’, il va avoir du mal à trouver un « stationné » pour son véhicule.
    Dommage.
    Cordialement.
    Chane.

    1. Avatar de daniel
      daniel

      Effectivement, c’est vraiment dommage de ne rien comprendre à un article aussi intéressant ! merci Laurent pour nous faire partager tes connaissances avec autant de pédagogie….

      1. Avatar de Laurent Ridel
        Laurent Ridel

        Merci. Pour la pédagogie, l’article fonctionne. Mais il est un peu trop sérieux.

  2. Avatar de Henry Decaëns
    Henry Decaëns

    Toujours bien documenté et très clair, Laurent. Merci beaucoup.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Merci de ton passage Henry.

  3. Avatar de Pierre, de Metz
    Pierre, de Metz

    Bon sens et connaissances. Merci

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Hélas, le bon sens n’est pas toujours partagé.

  4. Avatar de Patrick de saintes
    Patrick de saintes

    Toujours aussi clair et précis. Merci beaucoup

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      La précision, je la remarque surtout chez ces archéologues du bâti capables de phaser un pan de mur 🙂

  5. Avatar de Francis MARECHAL
    Francis MARECHAL

    Bravo, et merci beaucoup pour ce partage, entre initiés ou pas, de l’exceptionnelle histoire de l’art, notamment architectural, dont profite notre territoire national. Un rendez vous hebdo, qui permet, paisible, de voyager, dans l’espace et le temps…
    MERCI !

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Essayer de rassembler dans mes articles, initiés ou pas, voilà un défi que j’espère réussir mieux. J’ai le syndrome de l’intellectuel : être tellement passionné que j’entre dans les détails qui n’intéressent pas forcément tout le monde 🙂

      1. Avatar de Jacques Cubaynes-Thibault
        Jacques Cubaynes-Thibault

        Ceux qui vous suivent sont aussi des passionnés, donc aucun risque de les lasser !

        1. Avatar de Laurent Ridel
          Laurent Ridel

          Oui, mais il faut aussi que je m’adresse à ceux qui sont encore intimidés par le sujet.

          1. Avatar de Jean Ball
            Jean Ball

            Merci Laurent de nous partager votre passion tous les dimanches. À signaler dans mon Est natal : une église en fer à Crusnes et une (protestante) à pan de bois à Kuhlendorf.

      2. Avatar de Sylvie l'Abrincate
        Sylvie l’Abrincate

        Mais Laurent, pensez à ceux qui trouvent enfin la réponse à leur question … tous les dimanches matins, il y a quelque chose à apprendre.
        Merci pour votre excellent travail.

        1. Avatar de Laurent Ridel
          Laurent Ridel

          Merci Sylvie pour votre soutien.

  6. Avatar de Jean Paul Joachy
    Jean Paul Joachy

    Le plaisir de lecture du dimanche matin. Toujours passionnant !

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Je suis content que mes infolettres et articles entrent dans votre routine dominicale.

  7. Avatar de Billault
    Billault

    Chaleureux encouragements !
    Merci pour votre travail et partage de connaissances.
    Yoann B.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Des encouragements, j’en ai en effet besoin. Car une fois l’article terminé, je me dis : il mériterait d’être totalement réécrit. Merci.

  8. Avatar de Marie-Christine Van Hoof-Gruselle
    Marie-Christine Van Hoof-Gruselle

    L’envie était trop forte ? Répéter (comme un perroquet ?) un beau mot ! Psittacisme !
    Les mots « déroulé » et « avancée » figurent comme substantifs dans le dictionnaire Larousse ainsi que dans Le Robert … Que faut-il de plus ? Oui ! La langue française est vivante !
    Merci à Laurent pour son article bien « mijoté » !

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Oui, apparemment, je psittacise au fil du déroulé de mon article. Je vais aller consulter 🙂

  9. Avatar de Alain François
    Alain François

    Merci pour ce « recadrage » qui remet bien en place les idées justes et fausses sur la construction des églises et cathédrales. Good Job.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Je me recadre aussi par la même occasion. Car je pensais par exemple que les chantiers des grandes églises avançaient travée par travée alors que c’est plus compliqué que cela.

  10. Avatar de Gautier Daniel
    Gautier Daniel

    Merci beaucoup pour cet article. Chaque dimanche, je commence par lire « décoder les églises »…
    Toujours précis, images à l’appui, agréable à lire… surprenant, avec toujours cette pointe d’humour qui agrémente le sujet comme l’épice relève un plat.
    Merci infiniment

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      C’est intéressant de lire ce qui plaît ou non dans mes articles. Merci !

  11. Avatar de GUILPAIN Philippe
    GUILPAIN Philippe

    Toujours passionnant à lire. Une observation cependant sur l’orthographe employée à la légende l’idée 3:
    « Main à la patte » ne veut rien dire. C’est la transcription de la mauvaise prononciation hélas courante dans les médias (influence parisienne) qui veut éviter de parler comme les générations précédentes plus campagnardes, en ne prononçant pas les a graves avec accent â, qui sont pourtant la bonne prononciation du français et qui n’a rien de dévalorisant. D’où « patte et pâte », « tache et tâche » pour les exemples les plus criants.
    Essayez de corriger si possible.
    Cordialement

    Phil

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Bien vu ! Je vais corriger. Merci.

  12. Avatar de Genevieve
    Genevieve

    Passionnant ces lectures dominicales. Merci.

  13. Avatar de Christine Place
    Christine Place

    Merci laurent pour votre partage de savoir. Moi ce que j aime ce sont les schémas illustrés que je telecharge pour mieux les retenir.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      J’adore ça aussi 🙂

  14. Avatar de Dubost
    Dubost

    La paille et la poutre !
    Curieux ce besoin de vantardiser en dehors du sujet de base.

    Heureusement que les charpentiers, ne s’arrêtaient pas à la différence de couleur entre la cheville et le poinçon.

    Merci Laurent pour ces articles très richement documentés; pour moi qui ne suis qu’un béotien en art médiéval, cette presque vulgarisation me convient parfaitement.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Belle image de charpenterie !

    2. Avatar de Marie-Claire Theisen
      Marie-Claire Theisen

      J’avais lu plusieurs livres sur la construction des cathédrales et vous m’avez encore apporté des précisions sur la façon de les construire.
      Merci pour vos infolettres qui sont toujours intéressantes.

      1. Avatar de Laurent Ridel
        Laurent Ridel

        Bonne nouvelle. N’oubliez pas mon autre article sur les secrets des bâtisseurs.

  15. Avatar de Martine Bellot-Djablik, la petite sedanoise

    Il est des plaisirs renouvelés dont on ne saurait se passer.
    La lecture de votre infolettre en fait partie, au même titre que le croissant du petit déj’ dominical.
    Merci Laurent !
    J’apprécie particulièrement vos articles concernant les églises.
    Passionnée par ces édifices depuis mon enfance et les longues heures passées durant ma jeunesse, dans la très belle Abbatiale de Mouzon, je m’applique à suivre vos conseils de lecture du bâti, améliorant au fil du temps le contenu et je l’espère la qualité de mes visites guidées, en Ardenne française et belge.
    Si jamais vos pas vous mènent jusqu’à nos lointaines contrées, la « petite sedanoise » sera très heureuse de vous y accueillir.
    Continuez à nous enchanter !

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Ah, ah ! Parmi mes abonnés, vous êtes deux Ardennaises à faire du lobbying sur votre région.

  16. Avatar de Christian Metz
    Christian Metz

    Bonjour,
    Et l’acier ? Oublié, et pourtant au moins une église est en acier: Eglise Ste Barbes à Crusnes en Moselle.
    Merci pour vos articles
    Amicalement

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Dans le registre métallique, il y a aussi l’église Notre-Dame du Travail à Paris. Merci.

  17. Avatar de Patrick Roggeman
    Patrick Roggeman

    Après quelques dizaines d’années où je ne fréquentais plus les messes dominicales…je me réunis avec d’autres convertis en communion. Là, le sermon est délicieux et attendu avec grâce !
    Bien sûr dans l’assemblée il y a toujours un enfant perturbateur qui chahute un peu… l’éducation sans doute .
    Patrick de Rouen

  18. Avatar de Dominique Reyes
    Dominique Reyes

    Bonjour Laurent
    À lire tous ces commentaires, on ressent une chose certaine, c’est l’intérêt, l’engouement.
    À moi de vous dire que c’est une joie de vous lire chaque dimanche, c’est presque une attente religieuse …
    Et j’ai une question qui me taraude depuis quelques temps, à quoi avez-vous pensé pour nous livrer votre savoir-faire que le dimanche, pourquoi le dimanche ? Car pour vous lire, le dilemme est compliqué pour rester au «  choeur » de l’info, soit rater la messe dominicale, soit rater l’info lettre.
    En tout cas, ne changez rien, vous nous éclairez toujours autant et avec le sourire, c’est important.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Ah ! Ah ! Merci Dominique. A noter que je « prêche » aussi le mardi et le vendredi sur les réseaux sociaux (Facebook, Linkedin et un peu Instagram).

  19. Avatar de Jaoul cathy
    Jaoul cathy

    Bonjour Laurent, et merci pour cette lettre fort intéressante pour une néophyte.
    Le point 5, j’y ajouterais la Sagrada Familia à Barcelone.
    Bon dimanche et au plaisir de vous retrouver dimanche prochain.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      C’est vrai. Et les hauteurs de voûtes sont voisines de celles des plus hautes cathédrales du Moyen Âge.

  20. Avatar de Francis MARECHAL
    Francis MARECHAL

    je decouvre que nous sommes nombreux à nous interesser à l’histoire de l’art que vous nous distiller chaque semaine…. Donc, encore merci, et bravo!!!

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Et bonne nouvelle : vous êtes de plus en plus nombreux.

  21. Avatar de Pierre
    Pierre

    Merci pour votre travail Laurent.
    Je me délecte de votre infolettre avant d’aller à la messe et ça m’affûte le regard pour observer quelques détails dans l’édifice où je vais prier quitte à déplorer de passagères distractions.
    Très cordialement
    Pierre de Beynes 78

  22. Avatar de Joseph de Lorraine
    Joseph de Lorraine

    Super !
    Effectivement ces idées reçus sont toujours très répandues, merci de nous aider à les démonter !

  23. Avatar de schaedgen
    schaedgen

    Bonjour Laurent
    Pour avoir pas mal voyagé à travers le monde , j’ai vu des tas d’églises de tous les styles ; et en fait de matériaux , je ne saurais trop te recommander d’aller en Norvège où subsistent quelques églises en bois , de même qu’en Russie , particulièrement sur l’ile de Kidji . Je n’ai malheureusement que des photos papier car j’y suis allée il y a qqs années avant le numérique
    Bonne continuation dans tes recherches à nous faire partager

  24. Avatar de Jean Bouchard
    Jean Bouchard

    Très intéressant.

  25. Avatar de RODULFO
    RODULFO

    Rod du Captalat de Buch – Merci pour ces explications très claires et nécessaires évidemment. Un premier article en lecture pour moi et un grand intérêt pour les prochaines lectures.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Bienvenue alors ! Je ne publie pas tout sur ce site. Pour ne rien ratez, suivez mon infolettre.

  26. Avatar de Chantal de Caen

    La précision du vocabulaire accompagnée toujours de visuels existants intéresse un public averti ou néophyte.
    La clarté de vos informations sont fondamentales. Avec mes sincères remerciements.

  27. Avatar de Eri8 Martineau
    Eri8 Martineau

    Bonjour
    Toujours aussi bien documentés et très développés.
    Merci beaucoup

  28. Avatar de Irène Goyan
    Irène Goyan

    Merci infiniment pour toutes ces explications, un très bon moment tous les dimanche grâce à vos articles très instructifs Irène St Avold en Moselle

  29. Avatar de Hémiole49
    Hémiole49

    Merci pour vos articles, que je parcours avec intérêt chaque dimanche. Et encore un plus grand merci pour l’énorme travail qui les précède. Celui d’aujourd’hui m’a beaucoup fait penser au roman de Ken Follett, « Les Piliers de la Terre » que j’ai tant aimé lire.

  30. Avatar de LeJeune Yves
    LeJeune Yves

    Bonjour,
    Comme toujours, je ne rate pas vos infos lettre… (héhé)
    Dans le Maine-et-Loire, Savennières, petit village pittoresque (qui a dû bien changer depuis mon enfance) possède sa petite église avec deux pans de murs qui contient des briques rouges disposées en arête-de-poisson.
    Église de type roman construite comme un Lego sur plusieurs décennies. du VIe siècle (sous réserve d’info au carbone 14) pour la partie la plus ancienne…
    À voir absolument !

  31. Avatar de Roland della NAVE
    Roland della NAVE

    Merci Laurent pour toutes ces précisions.
    En ce qui concerne le système de mesure des longueurs,
    il me semble avoir entendu un jour lors d’une conférence par M. Pierre Durix,
    directeur du Centre d’Etudes des Patrimoines de St-Christophe-en-Brionnais-71800
    Tél. : 03 85 25 90 29
    que les édifices romans du Charolais-Brionnais étaient fortement basés
    sur les multiples-sous-multiples du système romain.
    C’est, parait-il, une constatation mais qui reste toutefois à vérifier auprès du directeur du CEP
    https://www.cep.charolais-brionnais.net
    Bien cordialement

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      En effet, je pense que Pierre Durix poursuit une idée de l’historien Alain Guerreau.

  32. Avatar de LLORCA SERGE
    LLORCA SERGE

    Bonjour,
    Baigné dans la construction depuis 62 ans déjà, j’apprécie vos articles sur le décodage des églises. Pour répondre à votre question saurions-nous construire des cathédrales de nos jours ? Au delà des reconstructions partielles de cathédrales comme celle de Notre Dame de Paris, il en est une de style néo-gothique et plus, qui a commencée il y a 142 ans et qui se terminera en 2026, pour ne pas la nommer c’est la Sagrada Familia de Barcelone. Ouvrage moderne et exceptionnel par la touche personnelle de l’architecte Gaudi. Certes si le béton armé en constitue la structure, le travail de la pierre, du bois et du verre l’habille extérieurement et intérieurement. Une oeuvre à visiter lorsqu’on est de passage à Barcelone.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Très bon exemple !

  33. Avatar de Houde
    Houde

    Trop d’information tue l’information ?
    J’avoue être à la fois très intéressé et parfois désorienté par vos articles. Un exemple au hasard :
    « 5 idées fausses sur la construction des églises » ; « les bâtisseurs employaient des outils ingénieux comme la corde à 13 nœuds ? »
    J’ai regardé la vidéo sur la chaîne Youtube du château de Guédelon.( https://www.youtube.com/watch?v=aexp1gu5Rc0 ) que j’ai trouvé très intéressante (À travers cet outil, opère la magie des mathématiques et de la géométrie). Cependant il est dit plus loin : « Absence de preuves anciennes de leur utilisation. La première mention de la corde à 13 nœuds remonte … aux années 1960 ! » Alors comment, au moyen-âge, ont-ils fait ces arcs en plein cintre et autres réalisations magnifiques. Allez-vous, dans un prochain article, nous dire qu’ils ont utilisé des rayons lasers fournis par des extra-terrestres ?
    « Les artisans d’aujourd’hui s’illusionnent parfois sur leurs outils qu’ils pensent remonter à un temps immémorial » ce que vous sous-entendez être faux ; soit, mais quels étaient donc leurs outils de l’époque ?
    … à lire les commentaires élogieux qui suivent je me dis que je n’ai sans doute rien compris. Resterai-je dans mon ignorance ?

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Merci d’avoir eu le courage d’affirmer votre désorientation. Je vais essayer d’être plus clair et plus précis. La corde à 13 nœuds est en effet présentée au château de Guédelon, chantier censé reproduire les techniques médiévales. Le problème est l’absence de preuves écrites et iconographiques de son utilisation médiévale. Selon Nicolas Gasseau, la corde à 13 noeuds présente tous les caractères d’un mythe : une hypothèse formulée par un mathématicien, Cantor, en 1900, au sujet des constructions égyptiennes, une reprise de l’information comme affirmation, puis un croisement hasardeux avec un symbole maçonnique ressemblant (la houppe dentelée) pour donner plus de poids à l’hypothèse, la popularisation de la corde par des ouvrages peu rigoureux dont les romans d’Henri Vincenot…

      Si la corde à 13 noeuds est un mythe, quels outils étaient utilisés ? Ceux que l’on voit sur les enluminures médiévales : compas, équerre, règle. Sûrement aussi le cordeau, utilisé déjà par les Romains. Dans la vidéo de Guédelon, le démonstrateur trace plusieurs arcs à l’aide d’une corde à 13 nœuds pour ça mais en fait un cordeau suffirait et il serait même plus précis car son doigt sera toujours plus exact qu’un gros nœud pour mesurer.

      Dites-moi si c’est plus clair et si d’autres points de l’article restent contradictoires.

      1. Avatar de Chris 02
        Chris 02

        Réponse tout à fait satisfaisante ; il était cependant très agréable de croire en cette « corde à 13 noeuds »… ! Comment le mathématicien Cantor en est-il venu à cette « invention » ? Je vais creuser un peu de ce côté.
        Merci pour tout ce que vous nous faites découvrir.

  34. Avatar de Bruno Bernard
    Bruno Bernard

    Merci pour ce nouvel article passionnant. J’étais persuadé de l’idée reçue n° 3 ! Quant à l’idée reçue n° 4, sur les outils en usage, vous ne concluez pas vraiment. La quine est-elle une invention récente, fruit d’un fantasme sur les savoirs traditionnels ? Et si oui, quel était le système de mesure en usage ? Si jamais on le sait, bien sûr.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Dans cet article, Nicolas Gasseau explique la genèse de la quine. Elle est née d’une hypothèse formulée en 1900 par le mathématicien allemand Moritz Cantor. Hypothèse transformée en vérité par des personnes de courants ésotériques ou simplement fascinées par la magie de l’outil.

      Le système de mesures médiévales n’est pas un mystère. Les documents citent des perches, des pieds ou des pouces. Selon la région, ces unités avaient une longueur différente. Il semble que ces mesures étaient liées entre elles : par exemple, une perche pouvait faire 10 pieds.

  35. Avatar de Gérard du Finistère
    Gérard du Finistère

    Tout d’abord, merci Laurent pour ce nouvel article et la somme de travail accumulé.

    Concernant la corde à 13 nœuds, l’absence de sources textuelles ou iconographiques anciennes incite effectivement à penser que ce n’est qu’un mythe, d’autant plus que son usage est plus compliqué et, surtout, bien moins précis sur le terrain qu’un simple cordeau (équivalent d’un grand compas) pour tracer un angle droit !

    Néanmoins, évacuer ce probable mythe ne répond pas à la question : comment les artisans médiévaux traçaient-ils leurs angles droits de grande ampleur ? (en pratique : comment effectuaient-ils le tracé du raccordement de deux murs à angle droit. Euh, pardon, le tracement, sinon je vais me faire accuser de psittacisme, cf. supra…)

    En effet, si les sources iconographiques anciennes montrant l’usage de l’équerre ne sont pas rares, elles montrent des *relevés* ou des *tracés* à l’équerre et non des *visées* (si je ne m’abuse, car ma connaissance desdites sources est embryonnaire et c’est un euphémisme). Or, pour tracer au sol un raccordement de murs à angle droit un minimum précis, à part une équerre de visée ou un tracé au cordeau, je ne vois pas trop la manière de faire…

    Bon, c’est vrai que les angles droits des plans au sol des édifices médiévaux sont parfois assez approximatifs, mais ils sont également parfois parfaits et, dans ce cas, ce n’est sûrement pas (enfin pas toujours) le résultat du hasard et d’un tracé « au jugé ».

    Ma question est donc : que sait-on (si tant est qu’on le sache…) de la manière de tracer ces angles droits d’après les sources ? (les vraies, pas les données fumeuses tirées de l’archéogogologie expérimentale néofolklo-médiévo-guédelonoïde).

    Vous remerciant,

    Gérard

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Comme vous dites, l’iconographie ne nous aide pas sur le tracé de murs perpendiculaires. Perpendicularité souvent apparente… Comme le vérifient chaque jour les archéologues lorsqu’ils font un relevé de bâtiments.
      Jean-Michel Mathonière pense que la droite perpendiculaire était obtenue avec un cordeau en utilisant une médiatrice.

    2. Avatar de LLORCA SERGE
      LLORCA SERGE

      Connu depuis des siècles… Pour vérifier qu’un angle est bien droit, on peut tracer son carré ou rectangle et tout simplement mesurer ses diagonales qui doivent être de même dimension. C’est une des première règle que l’on apprend pour implanter un ouvrage en maçonnerie.
      N’oublions pas non plus qu’en multipliant par racine de 2, c’est à dire 1,414 nous avons la diagonale d’un carré qui nous permet aussi de vérifier son équerrage.
      De toute façon, je pense comme Jean-Michel Mathonière, que le cordeau devait être utilisé pour les implantations depuis des millénaires jusqu’à nos jours par les petites entreprises du bâtiment en implantation pavillonnaire.

  36. Avatar de Bruno Bernard
    Bruno Bernard

    Ah ! Vous achevez de briser le mythe… C’est à la fois une déception et un soulagement.
    Une déception parce que c’est un joli mythe : le nombre d’or, cette progression linéaire, cette perfection en même temps très humaine. Et un soulagement parce que les ésotérismes utilisent ces éléments comme d’arguments pour échafauder des théories abracadabrantes. La survivance du mètre à travers les âges, la civilisation qui nous a précédés, etc.

    Je vais essayer de me renseigner sur les pistes que vous donnez : Gasseau, Cantor.
    Mais si vous avez envie d’en faire un article un jour, n’hésitez pas, je le lirai avec grand intérêt.
    Merci.

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      Vous pointez un biais de l’esprit humain : trouver des mythes tellement séduisants qu’on s’y accroche en dépit de l’absence de preuves.

  37. Avatar de VILLECHAUVIN Noël
    VILLECHAUVIN Noël

    A mon humble avis, la corde à 13 nœuds est tout simplement la mise en pratique du théorème de Pythagore et qu’importe les unités de mesures, du moment qu’on utilise les chiffres 3, 4 et 5. Elle servait surtout pour tracer des angles droits de grandes dimensions. Les variations des dimensions en fonction de la météo n’étaient pas graves dans la mesure où c’est toute la corde qui était concernée et qui variait en même temps. Idem pour la taille des nœuds. Sur une longueur de cathédrale, l’erreur de lecture n’est pas très grave. En plus les nœuds sont proportionnels au diamètre de la corde ou du cordeau. (Pour info : mon fils, compagnon du devoir, nous a fait vérifier les mesures de son atelier trois ou quatre fois avant d’obtenir un angle droit parfait à l’aide d’un décamètre ruban.)

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      La corde à 13 nœuds servait-elle seulement à tracer des angles droits de grande dimension ? J’en reste à l’idée qu’un simple cordeau et le tracé d’une médiatrice sont plus simples et plus précis.

  38. Avatar de VILLECHAUVIN Noël
    VILLECHAUVIN Noël

    Pour les instruments de mesures des routes et des aqueducs voir les égyptiens et les romains.
    Groma. Chorobate. etc. Bien avant les cathédrales, ils ont construit des grands monuments.
    Noël

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