Le Moyen Âge sans filtre : les stalles d’églises

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Laurent Ridel

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Dans les grandes églises, se cachent souvent des rangées de sièges en bois appelés stalles. Soulevez-les : elles dévoilent un Moyen Âge méconnu, à la fois dévot et insolite. 

Stalles de Bourg-en-Bresse
Stalles de l’église Notre-Dame du Bourg à Bourg-en-Bresse (Ain)

Pour voir des stalles intéressantes, il faut avant tout entrer dans une église qui accueillait une communauté ecclésiastique comme une abbaye, une cathédrale, une collégiale… Ensuite, il faut pouvoir pénétrer dans le chœur (ils sont parfois interdits à la visite). Mais si l’occasion se présente, franchissez-en le seuil. Vous y découvrirez un mobilier d’une grande richesse, travaillé avec soin. Du XIIIe au XVIe siècle, ces ensembles ont porté une iconographie foisonnante, souvent surprenante, parfois déconcertante. 

Miséricorde, parclose, jouée : l’anatomie des stalles

Les stalles, ce sont ces ensembles de sièges en bois, souvent magnifiquement travaillés, alignés dans le chœur des grandes églises. Y prenaient place les chanoines, les moines, les petits clercs… bref, le clergé durant les offices liturgiques. Et vu leur longueur… il fallait bien un peu de confort, notamment thermique dans ces vastes intérieurs froids. 

Stalles d'Ecouis
Les parties des stalles. Collégiale d’Écouis (Eure). On distingue souvent deux niveaux : les stalles hautes, réservées aux dignitaires, et les stalles basses, destinées aux rangs subalternes. 

Contre les courants d’air, chaque siège en bois est séparé par une parclose, avec à l’arrière un dossier ou même un dorsal richement décoré. Les rangées se terminent par de grandes jouées, panneaux verticaux eux aussi sculptés avec soin. Ce compartimentage, ajouté à l’emploi du bois, gardait un peu la chaleur des corps.

Mais la trouvaille la plus ingénieuse se cache sous le battant, partie rabattable : on découvre alors la miséricorde. Son origine est toute pragmatique : les offices s’enchaînaient dans la journée et pouvaient durer chacun plus d’une heure ; la station debout devenait une souffrance. Alors, en relevant le battant, la miséricorde offrait un discret appui qui donnait l’illusion d’être debout… tout en soulageant les jambes. Son nom dit tout : par « miséricorde », par pitié, on offrait un peu de compassion aux clercs vieux et/ou fatigués.

Stalle de la Trinité-de-Vendôme
Les parties d’une stalle. Abbatiale de la Trinité-de-Vendôme (Loir-et-Cher)

Chaque stalle était liée à son occupant. On ne se mettait pas où l’on voulait comme dans une salle de cinéma. Les places étaient attribuées. Encore fallait-il s’y retrouver ! Le chœur de la cathédrale d’Amiens compte 110 stalles, celui de Dol en aligne 77. Heureusement, la miséricorde, souvent sculptée de manière originale, servait de repère pour reconnaître sa place. 

Du confort au conflit : l’histoire des stalles

On trouve des stalles un peu partout dans les églises d’Europe. En France, les plus anciennes remontent au XIIIᵉ siècle, comme à la cathédrale de Poitiers ou à l’abbaye Notre-Dame de la Roche (Yvelines). En Angleterre, celles d’Exeter et de Salisbury figurent parmi les doyennes, tandis qu’en Allemagne, la cathédrale de Ratzeburg conserve des éléments qui pourraient remonter au milieu du XIIᵉ siècle.

stalles de la cathédrale de Poitiers
Datées du XIIIe siècle, les stalles de la cathédrale de Poitiers sont parmi les plus anciennes de France.

Les historiens disposent même d’un outil précis pour dater certaines stalles : la dendrochronologie, cette méthode scientifique qui analyse les cernes du bois. Grâce à elle, on sait par exemple que les chênes utilisés pour la cathédrale de Lausanne ont été abattus autour de 1275. Le chêne est d’ailleurs le matériau roi, même si le noyer se retrouve parfois dans les ensembles les plus soignés.

Entre le XIVᵉ et le XVIᵉ siècle, les stalles se multiplient dans les grandes églises, financées le plus souvent par les chanoines, l’abbé ou l’évêque. Véritables œuvres collectives, elles sont à la fois le reflet du rang de leurs occupants et de la puissance de l’institution qui les commandait.

Lire aussi : Les chanoines, les oubliés des cathédrales

Mais leur survie tient du miracle. Beaucoup ont disparu dans les incendies ou les saccages des guerres de Religion. La Révolution française leur a porté un coup sévère : vendues comme biens nationaux, elles finissaient parfois entre les mains de menuisiers, réduites à de simples planches de réserve. À Vendôme, un curé a réussi à en récupérer une partie au XIXᵉ siècle. Ailleurs, elles ont tout bonnement été détruites.

Carte des plus belles stalles de France.
Si vous pensez connaître des stalles qui méritent de figurer sur cette carte, dites-le en commentaire.

Aujourd’hui, admirer un ensemble complet de stalles, c’est donc un privilège rare. Regardons les sculptures de plus près. 

Du sacré au grotesque : l’imagerie des stalles

Il y a quelques mois, j’ai réussi à me glisser dans le chœur de la cathédrale de Rouen, habituellement fermé aux visiteurs. Ses stalles sont un cas d’étude passionnant par la richesse de leur programme iconographique. Ce qui frappe d’abord, c’est la place importante accordée aux métiers de la ville. Sur les miséricordes, on reconnaît un maréchal-ferrant, un sculpteur, un maître d’école, un fabricant d’étoffes…

Les sculpteurs, appelés huchiers, puisaient donc leur inspiration dans le monde qui les entourait. Ils transformaient ces surfaces de bois en une sorte de « documentaire » sur leur société. Le chercheur découvre ainsi les gestes et les outils des artisans d’autrefois. Parmi les stalles rouennaises, le musicologue Frédéric Billiet fait son miel de toutes les représentations de musiciens. Il retrouve ainsi les instruments de l’époque, à l’exemple du bedon, une sorte de gros tambour. Nous connaissons cet instrument grâce à des descriptions, mais il apparaît très rarement dans les représentations sculptées. 

Miséricorde de la cathédrale de Rouen
Sculpteur au travail. Est-ce un autoportrait de l’auteur de ces stalles ? Miséricorde d’une stalle de la cathédrale de Rouen.

De ce quotidien réaliste, on bascule sans transition dans le fantastique : créatures monstrueuses, hybrides de corps d’animaux et de têtes humaines, surtout féminines. Entre le sacré et l’inquiétant, ces sculptures déploient un univers parallèle, où l’imaginaire médiéval prend toute sa liberté.

L’historienne de l’art Florence Piat, qui a étudié pas moins de 300 stalles bretonnes, a proposé une classification éclairante. Les images sculptées – qu’elles soient sur les miséricordes, les appuis-mains ou les jouées – se répartissent en cinq grandes catégories :

  1. La vie quotidienne : métiers, portraits, acrobates, musiciens…
  2. Le religieux : scènes bibliques, figures de saints, clercs et anges.
  3. Le bestiaire : animaux réels, imaginaires ou monstrueux.
  4. Le végétal : feuillages, rinceaux et motifs floraux, qui représentent environ 20 % des sculptures en Bretagne.
  5. Les objets : accessoires divers, parfois difficiles à identifier.

Ainsi, les stalles sont une véritable encyclopédie sculptée du monde médiéval, où l’on passe d’une stalle à l’autre, d’une scène réaliste à une autre, imaginaire ou religieuse.

Lire aussi : 10 sculptures marquantes de l’art médiéval

Sans filtre : ce que les stalles osent montrer

En s’attardant sur les détails, les stalles révèlent un humour et une liberté d’esprit inattendus. Certaines scènes restent obscures… à moins de connaître les proverbes médiévaux. Ainsi, à la cathédrale de Rouen, on voit un fermier renversant un panier de fleurs devant des porcs. Il illustre le dicton « jeter des fleurs au pourceau » – l’équivalent de notre « donner de la confiture aux cochons », autrement dit : offrir des choses précieuses à qui ne sait pas les apprécier.

Mais les sculpteurs ne se sont pas arrêtés là. Les relations hommes-femmes sont un thème récurrent : on croise des scènes de séduction, mais aussi de véritables scènes de ménage. L’historienne de l’art américaine Betsy Chunko-Dominguez a relevé des images de femmes battant leur mari – oui, dans ce sens-là ! Un monde à l’envers, où la femme prend le pouvoir. Ces représentations révèlent l’idéologie des chanoines qui voyaient dans la domination féminine une menace, ou à tout le moins, une source de moquerie.

Stalle de Saint Lucien de Beauvais
Une scène incroyable : à l’aide d’un pique, le mari s’apprête à déloger l’amant de sa femme, caché dans le four. Stalles de l’église Saint-Lucien de Beauvais, vers 1500, déposées au musée du Moyen Âge à Paris.

Plus étonnant encore, l’iconographie scatologique : personnages qui exhibent sans pudeur leur postérieur ou qui se livrent à des gestes grossiers. Nous sommes là dans un humour populaire, carnavalesque, qui bouscule les convenances tout en divertissant.

Stalle de la cathédrale d'Auch
Est-ce vraiment une position à avoir dans une église ? Appuie-main d’une stalle dans la cathédrale d’Auch (Gers).

Les huchiers aimaient aussi mettre en scène des animaux anthropomorphes. Un canard musicien à Saint-Pol-de-Léon, un singe lisant ou imitant un prêtre… Comme dans les futures fables de La Fontaine, ces saynètes permettaient de critiquer subtilement la société, et même le clergé.

Dans le bois sculpté, le sacré voisinait avec le trivial.

Lire aussi : La luxure dans l’art chrétien : comment repérer ce péché sur les sculptures d’églises

Le miroir d’un Moyen Âge à la fois dévot et rieur

Aujourd’hui, nous restons souvent perplexes devant ces scènes si éloignées des thèmes religieux. Pourquoi tant de grivoiseries, de grotesques et de satires sculptés en plein chœur d’église ?

D’abord parce que les images les plus irrévérencieuses étaient surtout placées sur les miséricordes : largement invisibles aux fidèles, masquées par les chanoines assis ou debout. Logées sous les fesses, elles autorisaient les huchiers à une liberté d’expression discrète mais réelle.

Ensuite, il ne faut pas oublier la dimension moralisatrice. Certaines images profanes servaient aussi d’avertissement : elles illustraient la sagesse des proverbes, dénonçaient les travers humains, pointaient les péchés. Une leçon de morale sculptée à hauteur de genoux.

Stalle de la cathédrale de Saint-Pol de Léon
Le canard musicien de la cathédrale Saint-Pol-de-Léon (Finistère). Son interprétation est incertaine. Est-ce une moquerie à l’égard des musiciens de la cathédrale qui parfois laissaient échapper quelques fausses notes (en jargon, « faisaient un canard ») ?

Mais notre malaise actuel vient surtout d’un cliché sur le Moyen Âge. Contrairement à l’idée d’une époque austère et rigoriste, le rire, le grotesque et le satirique faisaient partie du quotidien – même chez les hommes d’Église. Et rappelons-le : les commanditaires des stalles étaient précisément des religieux ou des clercs. Des contrats conservés avec les huchiers indiquent que les thèmes étaient parfois prescrits. La plupart du temps, ils étaient validés par le clergé lui-même, qui se permettait de visiter l’atelier afin de suivre l’avancement de leurs sièges. Les images paillardes ou satiriques ne sont donc pas des insolences d’artisans en roue libre, mais bien des choix assumés par leurs occupants.

Stalle de Solignac
L’esprit moqueur du Moyen Âge. Appuie-main d’une stalle dans l’abbatiale de Solignac, près de Limoges

On retrouve la même cohabitation dans les manuscrits médiévaux : des marges peuplées de monstres, de scènes burlesques ou de satires, tolérées – voire appréciées – par les lecteurs ecclésiastiques.

Ce mélange sacré/profane s’est prolongé pendant des siècles, jusqu’à la Contre-Réforme. À partir du XVIIᵉ siècle, ces images, jugées obscènes ou de mauvais goût, ne sont plus tolérées par le clergé post-tridentin (postérieur au concile de Trente). On les rabote, on les efface, ou bien l’on refait entièrement les stalles. Les nouvelles sculptures, plus sages et souvent plus froides, trahissent la rigueur d’une époque qui voulait bannir toute irrévérence. 

Stalles de Saint-Jacques de Lisieux
Stalles XVIIe siècle dans le goût classique et non plus médiéval ou Renaissance. Église Saint-Jacques de Lisieux (Calvados)

Profitons donc de toutes les images qui ont échappé à la censure. C’est souvent là que je trouve mes plus grands plaisirs lors de mes visites. 


Les stalles ne sont qu’une des portes d’entrée dans le monde fascinant de la sculpture médiévale. Portails, statues, tombeaux… le patrimoine religieux regorge de trésors à décrypter. Pour aller plus loin, découvrez mon guide numérique « Décoder les sculptures du Moyen Âge ». Je viens de le réviser et de l’enrichir, et à l’approche des Journées du Patrimoine, il est proposé avec 50 % de réduction jusqu’au 15 septembre 2025. Un compagnon idéal pour vos visites : consultez la table des matières et des extraits ! 

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L’AUTEUR

Laurent Ridel

Ancien guide et historien, je vous aide à travers ce blog à décoder les églises, les châteaux forts et le Moyen Âge.

Ma recette : de la pédagogie, beaucoup d’illustrations et un brin d’humour.

Laurent Ridel

19 réponses à “Le Moyen Âge sans filtre : les stalles d’églises”

  1. Avatar de Francois TRIPET
    Francois TRIPET

    fascinant monde des miséricordes ! ( rappelant un peu ND de Paris car j’ai découvert que Victor Hugo avait amassé une documentation médiévale très importante avant de se lancer dans la redaction de son chef d’oeuvre ) .
    Auriez vous de la documentation sur les miséricordes de la cathédrale d’Auch ? J’ai un ami à qui je vais faire decouvrir le Gers pour le faire mentir sur son préjugé (  » c’est le seul département qui n’a ni autoroute ni chemin de fer », ou encore « un peuple de pequenots gascons qui tient rarement ses promesses » !! ) .
    Je veux qu’après La Romieu, Flaran ou les stalles d’Auch, il puisse dire « ici, on ne produit pas un grand armagnac avec une mentalité de pequenot » ! )

    1. Avatar de Laurent Ridel
      Laurent Ridel

      J’ai visité la cathédrale d’Auch il y a quelques années et du point de vue des stalles, cet édifice se trouve peut-être dans le top 10 voire le top 5. Déjà rien que par leur nombre (113 stalles) et ensuite par l’abondance du décor. Décor Renaissance et non médiéval. Autre particularité : les stalles forment un choeur clos : on ne voit pas la nef quand on est à l’intérieur. Les sujets sont variés : du religieux, du bestiaire fantastique, du trivial comme le montre ma photo plus haut…

      Pour partager la peine du Gers en matière d’infrastructures, pensez à l’Ardèche aussi dépourvu en train et autoroute 🙂

  2. Avatar de Perrot nicolas
    Perrot nicolas

    Très bel article.
    J’ai commencé à m’intéresser à ces stalles à l’abbaye de Montbenoit, capitale de la République du Saugeais dans le Haut Doubs 😊

  3. Avatar de Christian
    Christian

    Le personnage qui nous montre ces fesses dans une stalle de la cathédrale d’Auch est placé de telle façon, que si on met sa main sur l’accoudoir, le doigt vient se loger naturellement sur l’anus « offert »…
    C’est assez surprenant mais comme dirait l’autre « c’est étudié pour » vraisemblablement…

  4. Avatar de Yves BARNABÉ
    Yves BARNABÉ

    Bonjour Laurent
    Encore bravo pour vos articles passionnants.
    Deux églises comportent des stalles superbes :
    – L’église de Saint Marcel dans l’Indre (36) près d’Argenton sur Creuse avec son trésor, ses stalles signées par le sculpteur 😊et son magnifique clocher fortifié avec ses hours.
    – celles de l’abbatiale de Moirax près d’Agen ( 47 ) Lot et Garonne : des joueurs de flûte et un porc et des magnifiques chapiteaux historiés devraient intéresser tous les lecteurs de vos articles.
    Yves à Sainte Colombe en Bruilhois (47).

  5. Avatar de pierre-yves fontaine
    pierre-yves fontaine

    Merci « Chaire  » Laurent.
    Je dois beaucoup de mon désir de devenir sculpteur , aux stalles de l’église romane de St Anne de Mantes-Gassicourt où à l’adolescence , j’ai découvert que mes tourments existentiels et « existe en ciel » d’alors étaient déjà ceux des moines…
    du XIIème siècle!

    Moins seul j’étais!

    Amitié

    P.Y*

  6. Avatar de Andrée GUISLIN
    Andrée GUISLIN

    Je ne voudrais pas utiliser trop de superlatifs pour commenter votre travail et ce que vous nous proposez.
    C’est pourtant ce qu’ils méritent.
    Vos articles sont des prodiges de clarté, d’informations, d’images, d’illustrations. Le régal du dimanche matin.
    Andrée de l’Eure

  7. Avatar de André Laeremans
    André Laeremans

    Quel dommage que ces œuvres ont été détruite
    C’est toujours un plaisir d’en découvrir et de pouvoir s’amuser à décoder les messages que nous ont légué les artisans

  8. Avatar de Michel Guidoni
    Michel Guidoni

    Ma Question n’a rien à voir avec le sujet en cours..
    Je voyage en Italie et suis perplexe devant l’importance et la richesse de la décoration de l’ église du moindre village.Les revenus de l’ institution ecclésiastique devaient être colossaux aux 17 et 18 ème siècles!
    Quelle part du PNB?
    Pourriez vous m’indiquer un ouvrage traitant de ce sujet.
    Merci Laurent

  9. Avatar de Lise
    Lise

    Bonjour
    Stalles en provenance de château Gaillon dans la basilique de St Denis. Quelle surprise de decouvrir ces stalles normandes, placées la apres la révolution par Lebret.
    Lise du Havre

  10. Avatar de Yves Galactus
    Yves Galactus

    Il y a la basilique de Saint Denis qui contient encore des Stalles, peu nombreuses, hélas.
    Le guide n’en connaissait pas trop bien les fonctions, dommage, j’avais remarqué cela dans plusieurs églises en France. Mais rarement accessible.

  11. Avatar de francisco calle
    francisco calle

    De ma dernière visite à la cathédrale de Tolède: https://www.facebook.com/share/p/17DbAGbZpa/

  12. Avatar de Goanere
    Goanere

    Votre article est passionnant, bravo et grand merci.

  13. Avatar de Bonnamy Stéphane
    Bonnamy Stéphane

    Un grand merci pour toute vos renseignements et nous faire profiter de votre documentation …

  14. Avatar de Gilbert Salat

    Quelques stèles (grivoises) dans le Cantal dans les églises de St-Chamant et St-Cernin

  15. Avatar de Michel Giovinazzo
    Michel Giovinazzo

    J’ai été très intéressé par votre article avec vos explications claires et précise. Merci beaucoup.

  16. Avatar de boilot
    boilot

    je suis comme beaucoup intéressée et même fascinée par les stalles des églises : dans l’yonne vous citez Auxerre et Montréal mais c’est oublier les stalles de PONTIGNY.
    Demeurant en seine et Marne, je vous signale les stalles de Champeaux, dont tout une partie raconte l’histoire de JOB et un membre de l’association qui en tretien la collégiale doit faire paraître bientôt un ouvrage entièrement consacré à ces stalles .
    Merci de tout ce que vous faites pour nous aider à voir, regarder, apprécier… puis transmettre.
    danielle

  17. Avatar de Aufaure
    Aufaure

    Bonjour
    L’ancienne collégiale de Champeau dans le 77 a également un riche patrimoine de stales
    Amicalement

  18. Avatar de Reginaldo Antonio Maia
    Reginaldo Antonio Maia

    Salutations Laurent, excellent article avec des belles images.
    En ce qui concerne la figure appuie-main montrant le derrière, je pense que le trou (le cul) a été fait plus tard et peut-être augmenté comme une moquerie, car il semble que le sujet (un esclave?) est habillé.
    Merci pour votre emails.
    Reginaldo ( Brasil)

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